» On fait bouillir la graine, puis on la pile dans un mortier, avec le manche du pilon qui offre si peu de surface que la coque dure fuit de côté tandis que son enveloppe froissée se détache. «
de André Gide : Voyage au Congo (1926)
» On fait bouillir la graine, puis on la pile dans un mortier, avec le manche du pilon qui offre si peu de surface que la coque dure fuit de côté tandis que son enveloppe froissée se détache. «
de André Gide : Voyage au Congo (1926)
L’environnement de ces pilons est baigné d’une douce lumière dorée. Ils ornent encore la maison de quelques aînés aux Antilles.
En effet J.C ! Ils sont bien présents dans ma demeure …